Deuxième jour de la mission de supervision de la Banque mondiale
Les travaux ont débuté par la présentation des activités de la composante 3. Il est revenu à la Directrice du système d’information. La question du corps MIS a polarisé les débats. Pour cette activité et pour bien d’autres d’ailleurs, la mission de la Banque a donné des orientations claires aux fins d’accélérer le processus de mise œuvre du projet.
La Directrice du système d’information a profité de son temps de présentation pour faire u long plaidoyer en faveur de l’étouffement de son personnel, car dira Sarata BARRY, mon service a une vocation transversale, et donc du coup, sollicité par tous les services. Toutes choses qui selon elle, affecte considérablement le temps de concentration du développeur sur le développement du Corps MIS.
L’autre thématique traitée au courant de la journée, a été le compte rendu de la 1ère série d’atelier d’information et de sensibilisation organisé en octobre dernier, dans les préfectures de Gaoual, Tougué et Dabola. À ce sujet des recommandations issues des débats de ces ateliers ont été transformées en plan d’action à mettre en œuvre dans les meilleurs délais.
Conformément à l’agenda de la mission, les experts de la Banque mondiale ont suivi le thème relatif à l’aspect fiduciaire. Sur cette question, à date, le projet est à 40% de décaissement, avec un taux de décaissement qui pourrait se plafonner à 58% en fin décembre 2024.
Les travaux de ce 12 novembre se sont terminés sur les présentations du niveau d’avancement du plan de passation de marché et le niveau d’avancement du plan d’engagement de la sauvegarde environnementale et sociale du programme NAFA.
Pour chacune de ces présentations les experts de la Banque mondiale ont fait des suggestions et formulé des recommandations à l’intention du personnel du Programme NAFA.
Les travaux se poursuivront demain sur d’autres thématiques conformément de la mission. Nous y reviendrons